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Elle
Te crois-tu seule au monde ?
Te crois-tu la seule à te morfondre ?
Pendant que la vie s’écoule,
La mort emporte les foules.
Cesse tes pensées protectrices,
Tu finis dans les caprices,
Et quand tu te persuades
D’une vérité tout est maussade.
L’enfant qui dort en toi,
Ne veut plus souffrir.
L’adulte lui veut sortir,
Cajoler ses émois.
Arrête la tolérance insipide,
Qui torture les environs,
Arrête ton indigence stupide,
Qui te fais tourner en rond.
Ils sont en face de toi,
Avec leurs vécus et leurs poids,
Tu estimes leur importance,
Dans la taille de tes souffrances.
Mais tes proches ont leurs larmes,
Qui brillent sous leurs yeux,
Ils vivent ça comme un drame,
Le temps pour eux est capricieux.
Quand tu exiges la distance,
Protéger ton jardin secret,
Ils comprennent le sens,
Mais ne voient pas le concret.
Cesse, cesse les caprices,
Cesse, cesse la justice,
Donne, donne le pardon,
Aime, aime à ta façon (Répétition)
Denis
Je n’avais plus l’élan pour avancer,
Tu m’as prêté ton dynamisme,
Tu as soutenu mes gestes fatigués
Par la déprime et l’immobilisme.
Quand mon énergie s’amenuisait,
Tu nourrissais de ta volonté altruiste,
Mon esprit qui ruminait.
Je pouvais alors me remettre en piste,
Je pouvais alors me remettre en piste.
Je savais qu’au fond de l’abîme,
Il sortait de moi l’amour de l’infime.
Je t’offrais ce cadeau de moi,
Venu tout droit de l’au-delà.
Te rappelles-tu ?
Te rappelles-tu de mes absences ?
Ces moments où tu prenais mon identité,
Pour me faire aboutir vers la cadence.
Retrouver un semblant de sérénité.
Notre fatigue commune héritée,
A investi le cœur de la fraternité.
Notre constance à exercer notre métier,
A bâti l’humeur de l’amitié.
Et sur le temps il glissait aux alentours,
La structure même de l’amour.
La structure même de l’amour.
La structure m’aime de l’amour...
Elyssia
Bienvenue...Bienvenue...Bienvenue...
Bienvenue sur la planète d’Elyssia,
Y a des sons dans ton prénom,
Elisant le passé en déposant,
L’amour comme souvenir de ma
Tendre et mère Elisabeth.
Il y a pour toi des mystères,
Peut-être encore non explorés,
Des histoires de contes de fée,
De la famille et de son univers.
Bienvenue sur la planète d’Elyssia,
Où nous pouvons lire çà et là,
Entendre où que l’on soit,
Voir plus au-delà,
Le bonheur d’être toi !
Les Deux Cons de la Souche
Il y avait deux bonhommes,
Fixant le sol comme deux pommes,
On se demandait ce qu’ils faisaient,
Il n’y avait rien devant eux qui se passait.
Nous qui cheminions pour aller à l’école,
Sur l’aller ils avaient la tête baissée,
Au retour ils creusaient le sol,
Avec une perceuse, une chignole.
Le lendemain ils étaient toujours là,
Assidus à leur tâche sans fin,
Nous les trouvions la tête creuse,
Ils perçaient une souche de pin.
Ils versaient un liquide par les trous
Et allumaient le combustible comme deux fous.
Qu’espéraient-ils par cette manœuvre,
Consumer la souche comme une pieuvre ?
Consumer la souche comme une pieuvre ?
Deux jours plus tard, ils étaient toujours présents,
Depuis plus longtemps que les vacances des enfants.
Des flammes fragiles se consumaient sur le bois,
Croyaient-ils que le feu arriverait au bon endroit ?
Deux semaines plus tard, les voyant souriant,
Nous décidâmes de faire visite au passant,
1 euro la place pour observer leur manège,
Comme s’ils réalisaient un sacrilège.
Les deux cons de la souche,
Ont la tête aussi percée,
Que la souche est criblée.
Quand le bois dur reste figé,
Ils se croient dans l’escarmouche.
1 mois coulant aussi rapidement que leur carburant,
Ils souriaient bêtement contents de leurs élans.
Il nous vint subitement à l’esprit,
Que le titre du spectacle serait « les abrutis »
Mais sur les deux mois suivants,
Voyant la persistance de l’œuvre sans retouche,
Les deux cons de la souche
Etaient le phénomène vivant.
Les deux cons de la souche,
Ont la tête aussi percée,
Que la souche est criblée.
Quand le bois dur reste figé,
Ils se croient dans l’escarmouche.
Un jour nous passâmes les admirer,
Personne ne savait ce qu’il advenait,
Puis la gazette du village scandait,
Que ces deux andouilles nous avaient quittés.
Eux qui espéraient ronger liber,
Trouvèrent enfin la solution dans l’hiver,
Ils l’appliquèrent pour eux par les vers,
Eux aussi avaient désormais, leurs deux trous en terre.
Les deux cons de la souche,
Ont la tête aussi percée,
Que la souche est criblée.
Quand le bois dur reste figé,
Ils se croient dans l’escarmouche.
Mamandou (Ambiance Musicale)
Tu as besoin d’amour, je te donne de la tendresse...
Séraphin et Raphaël
Je ne veux plus être Raphaël,
Prendre mon envol ouvrir les ailes,
Quitter ce monde comme modèle,
Découvrir l’immensité, les merveilles.
Je ne veux plus être Raphaël (Non),
Découvrir les sons simples et sensuels,
Sentir bouillir le rythme incandescent,
Parcourir les veines comme le sang.
Laisse venir Séraphin,
Apprivoiser la dimension du chemin.
Laisse parler Séraphin,
Unique en son genre sur le divin.
Laisse se retirer Raphael,
Ecoute ce qui vient,
Ecoute ce qui vient,
Laisse muet Raphaël,
De son silence nait l’entrain.
Je vois poindre au fond de moi,
La célérité du son aux fréquences.
L’horizon s’éclaire dans l’abondance,
Me voilà serein là où il se doit.
Je suis heureux d’être Séraphin,
Pouvoir vibrer au-delà du destin,
La pulsation se mêle à la conscience,
Je capte les éléments hors de la science
Laisse venir Séraphin,
Apprivoiser la dimension du chemin.
Laisse parler Séraphin,
Unique en son genre sur le divin.
Laisse se retirer Raphael,
Ecoute ce qui vient.
Ecoute ce qui vient.
Laisse muet Raphaël,
De son silence nait l’entrain.
Father
I sing the blues for (to) my father’s love,
I live the blues for the joy (Multiple)
I see you shaking your head,
You like the music,
I see you move to the beat.
...Move to the beat...
Beat, groove, keep the groove….
Maman
Voilà maman,
Je n’arrive pas à retenir l’amour qui déborde pour toi.
Quand je vais de l’avant je t’ai toujours auprès de moi,
Par tes conseils, par tes désirs, par tes tourments.
J’aborde la vie autrement.
Cette chanson elle est pour ton esprit,
Pour qu’il ne doute plus intensément,
Ton âme elle sait immensément,
Tout le bonheur d’être unis.
Quand les mots blessent,
Ils ne sont que le reflet de l’ego,
Mais la vie intérieure ne cesse,
De t’aimer plus haut.
Toute petite maman c’est avec un cœur d’enfant
Que je te donne tout mon amour.
Toute notre vie tu m’as surveillé mes grands gestes passionnés,
Comme si tu cherchais à mieux m’aimer.
C’est grâce à toi, que j’ai pu exprimer,
Toute ma créativité.
On a appris à se connaître tout en vieillissant,
Il faut bien une vie pour exprimer ses sentiments.
J’admire ton parcours, tu n’as pas fait de détour,
Ton dévouement sans faille menait la bataille.
Tu m’as offert une partie, de ta vie,
Pour que la mienne soit accomplie.
Beaucoup ne comprendront pas ce qui fait tes choix,
Mais pour moi je……sais
Maman…
Mehdi
Mon cher cousin Mehdi,
Je me suis dit « écris-lui » mais
Je patientais que la musique fasse effet.
Je désirais dispenser ce qui te plait.
En ce mois de mai, diffusant l’envie,
De sentir s’aiguisée de plaisir
Ton oreille aux sons désunis.
Tous ces désaccords sans médire,
Qui forment l’ambiance et sa mélodie.
C’est sur cet entrain qui me rappelle
Ce qui nous rapprocha dans la surprise,
Tes retours à mes multiples mails,
Où je questionnais par ton entremise,
La beauté ou non de cette association de notes,
Posées pour toi pour qu’elles t’enveloppent.
Ton engagement au partage,
Qui m’a permis de comprendre les rouages,
Aussi bien du refrain que du chemin,
Que de ces accords à nos accords.
Souvent je réceptionne deux mains priantes,
A tes réponses positives,
Elles sont emplies de sagesse émotive,
De bienveillance envers ce que j’enfante.
Je remercie les sons qui ont fait résonnés
Mes diligences créatives
Comme la vitesse de l’inné,
Immédiatement actives.
Certains se rapprochent par les mots,
Nous avons fait de même par le solfège,
Mes dissertations en phrases « sortilège »,
Envoutant nos âmes vers le beau.
Cette rencontre nouvelle,
Mais disposée à son grandissement,
Rappelle tout de même,
Qu’il y a plus grand que nous dans l’éternel.
Qui dessine tranquillement,
Les chemins de vie vers l’enchantement….
La musique pour nous fut ce langage du temps
Léandra
Connais-tu Léandra ?
Mon amie spirituelle.
Connais-tu Léandra ?
Mon amie éternelle.
J’ai envoyé des messages à la pelle,
Avant de me décider de l’appel.
Sous sa voix sensible aux accents,
Mon avenir se déroule dans tes visions.
Connais-tu Léandra ?
Mon amie spirituelle.
Connais-tu Léandra ?
Mon amie éternelle.
Vos états d’âme sortent de ses flashs,
Sans effort, sans attache.
Elle décrit le temps, les évènements,
Dans ce futur déjà présent.
J’écoute tes prédictions, ton affection,
J’admire ta gentillesse, ta compassion.
Sous tes cartes le plan de la destinée,
Carte du soleil m’est attribuée.
The groove… the groove, groove, I want to feel, I want to feel the groove,
Léandra…
Sientes el ritmo
Renaud
Mon grand ami,
Je pense à toi et je souris,
Toutes ces années que l’on s’accompagne
Dans nos douceurs et nos batailles.
Un jour nous nous sommes cherchés,
Au-delà du prosaïque, au fond de la sensibilité.
Cet écueil de nos individualités,
Chacun tentant d’exister,
Fut une épreuve courte mais nous n’avions pas le choix.
Je me rappelle tu m’avais dit :
« Et maintenant on fait quoi ? »
C’est vrai que l’on avait été meurtris,
Nos petits êtres en construction,
Nos petites têtes sous la profusion.
Je t’avais répondu :
« T’inquiète, je sais comment faire ! »,
Nous étions si loin dans l’absolu,
Pourrions-nous rejoindre l’éphémère ?
J’avais l’entrainement de ma famille, de mes parents,
Et j’ai traversé les émotions,
Pour nous habiller tous deux d’une révolution.
Notre retour, notre nouvel amour du grandissement.
Notre amitié s’était élevée dans la dimension.
Depuis lors rien ne pourrait briser cette passion,
Car l’on porte tous deux cet enseignement.
Il nous a été facile de ressentir l’amitié,
Avec sa valeur totalement dévoilée,
On sait qu’elle sera à jamais éternité.
J’entends les vibrations de la viole de gambe,
Ce son gras qui crisse le bois comme la terre,
Et qui transporte la matière dans les airs.
Il y a cette substance du beau entre nous, une estampe
De nos cœurs accompagnés de notes.
Je respire tes envies comme les miennes,
Tout se mélange et je grimpe comme à la cime d’un frêne,
Au sommet j’aperçois la litote,
Te dire beaucoup avec peu,
Alors la musique coule vers les sons,
Et elle transporte la fusion :
Beaucoup de notes comme le classique,
Beaucoup de styles comme le baroque,
Beaucoup de rythmes comme le rock,
Beaucoup de pays comme l’esthétique.
Je t’offre ce qui vient, l’unique
Comme je t’aime, naturellement
Et indéfiniment.
Raphaël
Mon épaule est dénudée,
mon mouvement de reins est assuré (Bis)
Observe un peu, regarde-moi !
Tout mon corps bouge pour toi,
Sens-tu la sueur au rythme des pulsions ?
Elle glisse sur ma peau comme une partition
Je veux ton désir, que tu me possèdes,
Que cette musique t’obsède.
Je désire que tout ton être,
Apprivoise mon paraitre.
Je respire la lèvre tremblante,
Submergé par l’envie décadente,
Je joue de la musique, je deviens le son de l’avenir
Je crie l’oubli d’appartenir.
As-tu en toi
L’esprit qui louvoie ?
Je projette ma sensualité,
Plus loin que la destinée. (répétition)